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A Propos

Rencontrez Camille:

Camille, celle qui se cache derrière le nom "Camomille".

Bercée au milieu des plantes et des fleurs depuis ma plus tendre enfance, le végétal c'est une affaire de famille.

Le métier de fleuriste est arrivé plus tard… Petit bébé de Normandie, j'y ai grandi, étudié et travaillé. En quittant les bancs de l'école je quitte aussi ma région pour le beau soleil des Landes. Après quelques années dans le Sud et une pandémie mondiale, il est temps pour moi de me réinventer.

Il devient évident que toutes les plantes qui envahissent mon domicile depuis toutes ces années sont un bout de la réponse. Quitte à déménager pour une formation, autant essayer une nouvelle région: la Bretagne. Pendant ma reconversion j'essaye deux styles de boutiques: la grande enseigne en libre service et le petit traditionnel. Mais ça ne correspond pas à ce que je veux faire de toutes ces connaissances et expériences acquises.

Après trois années en boutique, je décide d’ouvrir mon propre atelier en novembre 2023. 


Mon approche

C'est comme ça que naît Camomille, mon atelier, dans le quel je crée et développe ma propre vision du métier.

J'aime travailler avec des fleurs de qualité, et une inspiration tout droit tirée du jardin à l'anglaise. Un brin sauvage, un brin raffiné. J’aime aussi moderniser mes arrangements floraux avec des lignes déstructurées pour un style très contemporain.

C’est avec ces deux équilibres que je jongle au quotidien pour réaliser vos arrangements floraux.

Le format atelier me rend 100% disponible pour vos projets. Avec mon sens du détail très prononcé, pour vous je ne laisse rien au hasard!


zero gaspillage

C’est aussi ma conviction. Notre métier est polluant, et le format atelier me permet de minimiser l’impact de mon métier sur l’environnement.

Pas de libre service, ici tout est fait sur commande et sur-mesure pour une gestion précise des quantités et pour ne pas jeter de végétaux. L’eau est récupérée, réutilisée. Pas de suremballage.

Mon approche vous plaît? Travaillons ensemble!

Crédit photo Hugo Le Beller